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« Faire du sport, c’est comme booster les batteries. Même après une grosse journée, alors qu’on pense ne plus avoir d’énergie » constate Liz Schick, secrétaire de la World Transplant Games Federation (WTGF), avant de confier qu’elle a pris goût au sport à l’âge de 18 ans, stimulée par son mari.
Elle a 35 ans lorsqu’une tumeur vasculaire du foie lui est diagnostiquée. Sous le choc, cette mère de deux enfants n’a qu’un espoir : la transplantation. « Quand je me suis réveillée, douze heures après mon entrée en salle d’opération, je me suis promise de prendre soin de ce cadeau précieux de mon donneur » confie cette passionnée de ski alpin, férue de rando aussi bien que de vélo. Et d’ajouter : « Pour moi, le plus grand moment de sport ça a été l’arrivée au sommet du Kilimandjaro, deux ans après la greffe. Là, j’ai fait la paix avec mon corps : je pensais qu’il m’avait trahie. Ça a été un grand moment de libération. »
Entretenir sa forme
Enthousiaste, Liz Schick se bat pour que les centres de transplantation encouragent leurs patients à entretenir leur forme. « Il ne faut pas avoir peur de pratiquer une activité physique après une transplantation » affirme-t-elle, forte de sa propre expérience. « Deux balades par semaine sont déjà bénéfiques… Il s’agit de se fixer des objectifs raisonnables en fonction de ses possibilités. » Et de préciser que la WTGF, dans le cadre de son nouveau projet Fit for Life !, travaille à la mise sur pied de consignes pour les transplantés, relatives à l’activité physique associée à une alimentation saine. « Le sport permet aussi de sortir d’un sentiment d’isolement qui s’installe parfois. C’est d’ailleurs souvent le cas chez l’enfant » souligne Liz Schick, également fondatrice du programme TACKERS, qui, sous l’égide de Swisstransplant, organise chaque hiver un camp à Anzère (VS) pour les enfants transplantés de 35 pays.
Etre le roi du monde
« Quand on prend de la cortisone ou d’autres médicaments, on n’a pas toujours envie d’aller faire du sport mais quand on l’a fait, on est le roi du monde ! » dit encore cette femme à la joie de vivre contagieuse. Comme tous les deux ans depuis 2001, elle participera aux Jeux mondiaux d’été des transplantés – désormais ouverts aux donneurs vivants et aux familles de donneurs –, à Malaga, en Espagne, du 25 juin au 2 juillet prochain. « Je me souviens d’une vieille dame qui faisait la course en même temps qu’une jeune fille de 19 ans, greffée des poumons : ni l’une ni l’autre ne pouvait courir. Quand elles ont franchi la ligne d’arrivée en marchant main dans la main, tout le monde pleurait. Personne n’est là pour gagner : la victoire, c’est de participer ! »
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